Monthly Archives: novembre 2021

Comment éviter certains écueils dans votre contrat

« Tout comme les freelances veulent parfois vérifier si une mission est faite pour eux, les clients, quant à eux, tiennent souvent à examiner si un freelance correspond au profil qu’ils recherchent. Par ailleurs, les freelances sont par définition employés pour des projets à court terme. Ces facteurs peuvent expliquer pourquoi les clients sont plus enclins à proposer, dès lors, un contrat à durée limitée », explique Julie.

« Dans certains cas, si tout se passe bien, le freelance se verra proposer un contrat modifié par la suite. Il est également possible que le contrat initial contienne une clause qui prolonge tacitement l’accord. En tout état de cause, les deux parties doivent réfléchir à la validité et aux modalités de résiliation du contrat.

Un freelance ne doit pas signer aveuglément une proposition de contrat, mais bien appréhender la nature de certaines clauses, notamment dans la perspective d’autres missions.

Clauses à impact

« Dans la pratique, nous observons que les freelances ont tendance à se lancer rapidement, parce qu’ils ont vraiment besoin de la mission ou sont souvent simplement très enthousiastes. Un·freelance ne doit pas signer à l’aveugle une proposition de contrat, mais bien appréhender la nature de certaines clauses, notamment dans la perspective d’autres missions. Un client souhaite bien sûr préserver au maximum son entreprise à travers un contrat qu’il a rédigé, mais cette démarche n’est pas toujours dans l’intérêt du freelance et peut même le conduire à se retrouver échec et mat sur le marché du travail pendant un certain temps. »

Conseils pour un contrat de collaboration en bonne et due forme.

Julie propose des astuces dont les deux parties peuvent se servir pour bâtir une relation saine et harmonieuse :

  1. établir des modalités de résiliation anticipée d’un contrat. Si, par exemple, vous avez une mission de trois mois, mais qu’elle se termine après seulement deux mois, veillez à ce qu’un accord soit trouvé (par exemple, paiement direct du prix total du projet, absence d’indemnisation, paiement de dommages et intérêts…).
  2. Un freelance n’a pas intérêt à s’engager, pour des projets de courte durée, à respecter des clauses de non-concurrence ou de confidentialité très strictes ou à faire usage de ses droits d’auteur. Engagez le dialogue avec le client et essayez de trouver un bon équilibre entre la protection de vos droits sur le marché du travail et de ceux du client.
  3. La lutte contre le faux travail indépendant implique qu’un freelance reste autorisé à travailler pour d’autres personnes. Une clause d’exclusivité stricte est donc plutôt déconseillée (y compris dans l’intérêt du client). En contrepartie, on peut prévoir que le freelance veillera à éviter tout conflit d’intérêts et communiquera en toute transparence.
  4. Même pour les contrats de très courte durée, il convient de prendre de bonnes dispositions en matière de résiliation de sorte à empêcher toute discussion en cas de résiliation (anticipée). Aussi bien pour le freelance que pour le client, il peut être intéressant de prévoir la reconduction tacite du contrat après la période initialement établie. Les contrats établis par les clients contiennent souvent des clauses de dommages-intérêts selon lesquelles vous, en tant que freelance, êtes tenu de verser une indemnité en cas d’infraction. De telles dispositions peuvent aussi être adoptées pour un client et sont même bénéfiques pour le client afin de lui permettre de se protéger contre une plainte pour faux travail indépendant. Les parties sont donc à égalité de valeur et aucune d’entre elles ne peut être plus vulnérable.
  5. Autant ne pas signer un contrat standard que le client vous jette sous le nez. Le freelance a tout intérêt à se procurer un contrat en bonne et due forme ou à adapter le contrat standard du client à ses besoins spécifiques. Là encore, le client y trouve son compte et peut prouver que les deux parties sont des entrepreneurs à part entière (et qu’il n’est donc pas question d’emploi déguisé).
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« Une entreprise ne peut plus régir toutes ses relations de travail dans un contrat type fixe. »

Voici l’épisode 3 de la série « Un.e CEO se dévoile ».  NextConomy y discute avec des CEO de leur vision de l’avenir du travail. Comment voient-ils le monde du travail et le marché de l’emploi évoluer ? Comment réagissent-ils ? Y voient-ils une opportunité ou plutôt une menace ? Quelle est leur vision du monde ?

Les bons résultats de l’entreprise me réjouissent, les clients satisfaits me ravissent, les collaborateurs épanouis me font plaisir.

Donner la priorité aux collaborateurs

La crise sanitaire liée au coronavirus a rendu caduc le vieil adage « Le client est roi ». « De l’idée du ‘customer first’, nous évoluons précisément vers celle du ’people first’. La culture des jeunes salariés et les suites du confinement pénible font que les CEO sont toujours plus nombreux à réaliser ce que leurs managers RH savent peut-être depuis longtemps : la satisfaction du personnel est primordiale, car elle est la base de la réussite commerciale et financière. »

Securex y accorde également plus d’importance, tant au sein de l’entreprise qu’avec ses clients, dans une optique de durabilité.  « Nous estimons que nous avons la responsabilité sociale de motiver nos clients à faire davantage pour la santé physique et le bien-être mental des membres de leur personnel et de leurs équipes. Nous défendons l’idée de relations de travail éthiques et durables, même si nous devons parfois heurter nos clients au passage. »

Nous défendons l’idée de relations de travail éthiques et durables.

Réfléchir autour des limites de la flexibilité

Le débat actuel sur la flexibilité témoigne également d’une évolution des mentalités concernant le travail. « Alors que la flexibilité relative aux statuts et aux horaires de travail était auparavant essentiellement une question d’employeur, nous constatons aujourd’hui, après la période de télétravail obligatoire, un regain d’intérêt pour le mode de vie sans contrainte horaire et de lieu auprès des professionnels du savoir. Certains jeunes salariés qui veulent plus d’autonomie demandent même à devenir indépendants. »

Une entreprise ne peut plus régir toutes ses relations de travail dans un contrat type fixe. Le nombre de dérogations et d’exceptions est bien trop important, même par service ou direction régionale. « La numérisation entraîne la pérennisation d’un « travail hybride » flexible. Nous nous réjouissons de satisfaire en grande partie ce besoin des employés. Nous réclamons une présence minimale au bureau d’un jour par semaine, principalement pour les entretiens avec les clients et les réunions avec les collègues. Mais nos équipes plus ou moins autogérées se doivent de veiller à ce que la qualité du service reste garantie. Certaines d’entre elles devront donc être présentes 3 à 4 jours par semaine. Nous suivrons de près cette avancée et l’évaluerons en temps utile. Dans le cadre de notre campagne ‘New Way of Working’, nous pouvons apporter à nos clients une aide et des conseils judicieux à cet égard. »

Une entreprise ne peut plus régir toutes ses relations de travail dans un contrat type fixe.

Accueillir les freelances à bras ouverts

Securex emploie également beaucoup d’intérimaires et de freelances. « Notre département RH doit être responsable de l’ensemble de la main-d’œuvre, et pas seulement des personnes sous contrat permanent. Fort heureusement, les RH ont une vision claire de l’ensemble de nos effectifs, sans tenir compte des statuts en vigueur. Les RH mettent également en place un véritable service à l’égard des freelances.

Je constate un changement notable, notamment chez les jeunes travailleurs du savoir. Nous considérions auparavant comme normal que les jeunes acquièrent de l’expérience et une meilleure connaissance d’eux-mêmes en « courant » d’un emploi à l’autre jusqu’à ce qu’ils trouvent leur véritable vocation. Aujourd’hui, je vois des jeunes qui veulent suivre ce parcours en parallèle. Ils occupent déjà l’un ou l’autre poste plus ou moins permanents et viennent ensuite ici pour postuler à un contrat freelance deux jours par semaine… ».

Notre département RH doit être responsable de l’ensemble de la main-d’œuvre, et pas seulement des personnes sous contrat permanent.

Mon leitmotiv

« À titre de dirigeant, j’éprouve une énorme satisfaction et une grande énergie à voir nos collaborateurs s’épanouir.

Les bons résultats de l’entreprise me réjouissent, les clients satisfaits me ravissent, les collaborateurs épanouis me font plaisir. Selon moi, les bons résultats d’une entreprise découlent d’une stratégie orientée client. Ils ne peuvent être atteints que si les collaborateurs sont prêts à donner le meilleur d’eux-mêmes. Je souhaite, en ma qualité de CEO de Securex, poursuivre dans cette voie. »

Un personnel en pleine croissance fait mon bonheur.

À propos de Securex

Securex propose aux starters, entrepreneurs et entreprises un service complet dans les domaines de l’administration du personnel, du calcul des salaires, de la prévention et du bien-être, du déploiement des talents et des assurances sociales. Au cours de l’année 2020, coronavirus en prime, l’entreprise a réalisé un chiffre d’affaires de 285 millions d’euros. Ses 32 bureaux occupent 1 600 personnes qui sont au service de 57 000 entreprises et de 136 000 indépendants en Belgique, en France, au Luxembourg, aux Pays-Bas et en Espagne.

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YOLO : un cri du coeur qui secoue le marché du travail

Inventée par Kevin Roose, journaliste du New York Times, l’expression ‘Yolo economy’ est le reflet de plusieurs phénomènes analysés pendant la crise aux États-Unis : déplacements et déménagements massifs, licenciements, démissions… Dans la restauration par exemple, des travailleurs se sont fait remercier en masse quand le secteur a été mis à l’arrêt. Lors de la reprise, “ce sont des centaines de milliers de serveurs, de chefs, de personnes indispensables en salle qui manquaient à l’appel. Les gens ne voulaient plus revenir travailler et la principale raison donnée à ce non ‘come-back’ est la Yolo” nous expliqueLaëtitia Vitaud. En Europe, des similarités s’observent (sans autant de chiffres) et le retour aux fourneaux s’annonce tout aussi incertain.

Pas de retour en arrière possible

En clair, cela signifie que les travailleurs licenciés pendant la pandémie sont passés à autre chose. Ils ont changé de carrière, parfois même de pays, ils ont acquis de nouvelles habitudes, un nouveau rythme de croisière. Tout cela dans une forme d’apaisement et de lâcher-prise conscientisant. Pourquoi continuer à mettre le travail en top 1 de nos priorités s’il nous broie au quotidien ? “Avec les confinements et le télétravail, on s’est rendu compte que les sacrifices qu’on était capable de faire pour son ‘futur moi’ n’étaient plus tenables et que l’instant présent surpassait le reste.”.

Tunnels Zoom aliénants et présentéisme à distance ont rendu les conditions d’organisation du travail hyper visibles et inacceptables.

La fin du Taylorisme

Le télétravail et par extension la transition numérique ont profondément modifié notre rapport au travail hérité du Taylorisme et de son “One-Best-Way”. “Les travailleurs ont pris leur autonomie et affichent clairement une plus grande rigidité dans ce qu’ils sont capables d’accepter comme conditions de travail.”. Aujourd’hui, nous voulons garder une maîtrise de notre emploi du temps, avoir notre propre bureau à domicile, faire quelques trajets vers la ville mais plus autant qu’avant. Et si pour certains le télétravail a été libérateur, pour d’autres il fut l’ennemi : “ tunnels zoom aliénants et présentéisme à distance ont rendu les conditions d’organisation du travail hyper visibles et inacceptables. Le stress a aussi été immense pour ceux qui ont pu garder leur emploi” ajoute notre spécialiste du travail. Mais alors, comment gérer et recruter les talents dans un tel climat ?

Les entreprises vont devoir se réinventer autour de ce que j’appelle les valeurs de l’artisanat : plus d’autonomie, de flexibilité, de responsabilité et de créativité.

À la manière de l’artisanat

Les recruteurs et les entreprises doivent, tout d’abord, prendre conscience que dans certains domaines la rémunération est trop faible. La solution est finalement très simple : il faut payer mieux ! Ensuite, “la manière dont on travaille ressemble encore trop au monde industriel du 20e siècle avec une organisation très rigide et aliénante. Les entreprises vont devoir se réinventer autour de ce que j’appelle les valeurs de l’artisanat : plus d’autonomie, de flexibilité, de responsabilité et de créativité.”.

Les entreprises trouveront-elles une solution dans l’hybride ?

Il n’existe pas de formule toute faite, transposable à chaque système de management et chaque entité doit faire en fonction de son identité propre, de sa culture, de son histoire. Aujourd’hui, l’hybridation est appréhendée mais pas encore validée par tous. “L’hybride s’annonce compliqué avec ces réunions floues et parfois inaudibles, ces mauvaises connexions ou encore ces personnes complètement exclues des jeux politiques.” La réflexion sur l’inclusion doit être accélérée à l’heure où les inégalités se creusent, toujours plus. “En entreprise, ce sont les mères de famille qui trinquent. Les outsiders sont souvent féminins” précise Laëtitia Vitaud.

Les consultants ont le vent en poupe

Puisque tout se joue désormais en ligne, les talents du numérique voient une opportunité extraordinaire de se faire connaître et d’allonger leur carnet de commandes. Les entreprises de leur côté doivent animer leur communauté, devenir plus visibles et rendre leur interface attrayante. Pour cela, rien de tel que les consultants et les freelances : entre autres développeurs, designer, agences de conseils mais aussi créateurs et rédacteurs de contenus. De quoi donner du travail à toute une frange d’indépendants.

Quand le recrutement ne suit pas…

“Les créateurs purs ne sont pas spécialement connectés au monde de l’entreprise et les entreprises ne savent pas comment aller les chercher. Le problème est là : les frontières deviennent plus floues et le monde s’hybride. Les identités ne sont pas prêtes à franchir le pas, à se mettre en mouvement ailleurs, ce qui rend le recrutement extrêmement compliqué.” Laëtitia Vitaud rappelle la difficulté persistante pour l’entreprise à affronter les grands défis de ce monde.

Et si on profitait de la vie ?

Comme après chaque période de chaos, il y a un carpe diem qui éclot et qui importe. Ce n’est pas une nouveauté. Ce YOLO crié à l’unisson témoigne d’un ras-le-bol collectif et d’une envie puissante de vivre l’instant présent. Avec la crise du Covid-19, le phénomène s’est amplifié et nous avons vu se figer certaines limites : conditions de travail insupportables, manque de temps pour les choses essentielles, risque de burn-out, désespoir des plus jeunes… Jusqu’en Chine, où la sieste est devenue acte de rébellion pour les milléniaux, la population questionne un modèle de travail toxique. Entre signe de chaos et changement d’aspiration profond, à quel point le YOLO se fait-il révolution ?

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Techlancers ou la nouvelle opportunité pour les freelances de la Tech

Agoria et les freelances ?

La fédération sectorielle Agoria regroupe actuellement plus de 2 000 entreprises technologiques belges, et plus de 60 % d’entre elles sont des PME. « Mais nous considérons que notre mission dépasse aujourd’hui le cadre classique de la défense du secteur et du conseil en matière d’innovation et de numérisation. Nous observons aussi que les frontières entre employeurs et salariés s’estompent. Dans le cadre de notre responsabilité sociale, nous tenons à sensibiliser et à aider tous ceux qui sont motivés par la technologie. Pas seulement les équipes dirigeantes de l’entreprise, mais également les étudiants, les jeunes spécialistes… », déclare le CEO Bart Steukers.

Et d’ajouter : « Les freelances sont bel et bien des entrepreneurs qui peuvent contribuer à réaliser pleinement la mission et la vision d’Agoria. La pénurie de certains profils sur le marché du travail ou le recours à un coaching de proximité lors de l’implémentation de solutions technologiques présente un fort potentiel. La flexibilité requise et accordée, le travail par projet, qui caractérise de plus en plus notre travail, tout cela cadre à merveille avec l’ADN d’un freelance… ».

Nouveauté ! Agoria Techlancers

Très concrètement, Agoria Techlancers s’adresse en priorité aux ingénieurs et profils IT qui souhaitent proposer leurs services technologiques dans les entreprises du numérique ou de l’industrie manufacturière. Nous saluons aussi les freelances RH qui implémentent des robots administratifs ou les spécialistes du marketing qui optimisent les performances des entreprises au moyen de l’IA.

En quoi Agoria Techlancers est-elle intéressante pour les freelances tech ?

« Le statut social en tant que tel n’entre pas en ligne de compte. Obliger les entreprises à choisir entre le statut de freelance flexible et celui de salarié n’est pas de notre ressort. Attirer les talents en souplesse constitue le principal enjeu pour eux ! »

Les techlancers ne deviennent pas non plus membres “as such” d’Agoria, qui accepte uniquement les entreprises dans leur fédération. L’adhésion payante apporte cependant aux techlancers une offre de privilèges spécifiques qui sont décrits en détail sur le site web Techlancers. Une équipe autonome dirigée par le responsable du programme, Geert Jacobs, les accueillera et les accompagnera.


« Agoria Techlancers ou comment concilier connaissances, réseautage, conseils et outils pratiques, vision du marché avec même des réductions exclusives pour les entreprises chez nos partenaires. »


« Nous disposons d’une multitude de connaissances concernant les nouvelles technologies et d’un solide réseau d’entreprises au sein duquel nous voulons donner aux freelances la possibilité de se déployer. Nos formations et nos outils en ligne leur permettent de demeurer pertinents sur le marché. Les visites d’entreprises et les journées de coworking leur permettent de tisser des liens. Nous leur ouvrons également les portes de notre réseau d’agences de personnel intérimaire établies dans une autre société, de précurseurs numériques et de leaders de l’industrie manufacturière. En collaboration avec d’autres partenaires, nous tenons également à organiser des “jobdays” taillés sur mesure. »

Apporter également un savoir aux clients

Des membres d’Agoria ont sans doute aussi des difficultés à travailler avec des freelances. « À travers notre nouveau réseau, ils ont la possibilité de découvrir comment agir en tant que client de manière à faire appel à des freelances de manière flexible. Ils verront quelles entreprises spécialisées ils peuvent contacter pour confier des projets à des freelances. Mais les plateformes de placement qui facilitent la recherche d’une mission pour les profils IT n’ont rien à craindre. Agoria ne veut certainement pas devenir une nouvelle agence intérimaire. Nous nous réjouissons au contraire de coopérer avec ces organisations afin de rapprocher encore mieux et plus rapidement l’offre et la demande. »


« Mais les plateformes de placement qui facilitent la recherche d’une mission pour les profils IT n’ont rien à craindre. Agoria ne veut certainement pas devenir une nouvelle agence intérimaire. »


Et l’avenir ?

Les aspirations sont à juste titre grandes. « Nous nous sommes penchés sur les chiffres du dernier rapport Freelancer Focus d’Unizo. En tenant compte d’une population totale de 241 041 freelances et en sachant qu’environ 12 % de ces freelances travaillent comme experts IT 3 % ont un profil d’ingénieur, notre groupe cible s’élève à 36 285 personnes. D’ici 2024, nous voulons et pouvons en atteindre 5 000 d’entre eux. Nous avons, donc, créé, pour eux, Agoria Techlancers ! »

Pour en savoir plus, une seule adresse : https://www.techlancers.be


Agoria : un nouveau partenaire de NextConomy

Agoria Techlancers a étabi un certain nombre de partenariats avec des organisations telles que NextConomy, qui proposent des services et des informations spécifiques aux professionnels qui choisissent la voie de l’indépendance.

Livre blanc – Agoria Techlancers – une carrière de freelance dans la technologie

Le premier résultat positif de la collaboration avec NextConomy et d’autres partenaires consiste en un livre blanc pratique. Destiné aux freelances en technologie, il regorge de renseignements sur les tendances au travail et la manière de les transformer en opportunités. Il vous offre aussi des conseils pour gérer, en tant que freelance, votre entreprise avec (davantage de) professionnalisme.


Photo: Bart Steukers

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